top of page

L’histoire du Mont-Blanc

mb 4.png
9D759F32-9AB4-4FD5-A7D0-99CB3FE73B76.png

Quelques informations pratiques sur le Mont-Blanc :

Le Mont-Blanc, aussi connu sous les noms de « toit de l’Europe » ou « sommet de l’Europe », fait partie de la chaîne des Alpes et est réputé pour être la plus haute montagne d’Europe occidentale. Il est divisé par la frontière franco-italienne et est partagé entre le département de la Haute-Savoie en France et la région de la Vallée d’Aoste en Italie. Le Mont- Blanc fascine depuis toujours les plus grands aventuriers, mais il est aussi l’inspiration principale de nombreux artistes (peintres et poètes notamment). La dernière hauteur enregistrée date de 2021 et précise que le Mont-Blanc mesure 4807,8 mètres. Mais le plus haut sommet d’Europe fait état d’une histoire bien particulière. En effet, aux alentours du 17ème siècle, plusieurs exorcismes à son encontre ont lieu afin d’arrêter l’avancée de la Mer de Glace qui effraie la population locale.

Gravir le Mont-Blanc ? Un défi vieux comme le monde.

Le sommet a surtout été le défi de beaucoup dès le 19ème siècle. En effet, nombreux sont ceux qui ont tenté de gravir le Mont-Blanc. Horace Benedict de Saussure, physicien mais surtout un des fondateurs de l’alpinisme, offre une récompense à quiconque arrivera à atteindre le sommet afin d’obtenir plus d’informations sur les caractéristiques du Mont-Blanc. Jacques Balmat et Michel Paccard seront les premiers à réaliser l’exploit de l’ascension du toit de l’Europe le 8 août 1786. En 1838, c’est Henriette d’Angeville qui arrive au sommet, elle sera la première femme du Mont-Blanc. Ces ascensions historiques forgent l’histoire du Mont-Blanc.

C47104F6-F890-4C45-9EEA-34CEB2D7DCE3.jpeg
BE82B772-E333-44A4-A11D-74700537A7B1.jpeg

De nouvelles évolutions.

Son sommet s’articule entre les villes de Chamonix-Mont-Blanc (côté français) et de Courmayeur (côté italien). Chamonix est une ville née de visiteurs fascinés par ses paysages. Au 19ème siècle, ce sont notamment des touristes fortunés et des têtes couronnées qui y passent leurs vacances. Après le passage de Napoléon et d’Eugénie, la ville est en plein essor, si bien qu’en 1924, elle accueille les premiers Jeux Olympiques d’hiver. Du fait de son tourisme croissant, l’Etat décide d’installer le train du Montenvers ; il aura pour but de faciliter l’accès à la mer de Glace, trajet qui se faisait jusqu’alors à dos de mulet. Cette installation fera l’objet de nombreuses critiques, mais sera très vite bénéfique au tourisme de la ville.

Bien plus qu’une attraction internationale, le Mont-Blanc est également un site de développement de recherches. Plusieurs sites d’observation y sont installés, tels que le site d’observation scientifique de Pasteur (qui récolte les mesures de pureté de l’air), que l’observatoire Vallot (premier édifice scientifique du Mont-Blanc qui étudie la glaciologie, la botanique et la géologie, entre autres) et que l’observatoire Janssen (qui sera lui dédié aux mesures du spectre solaire). Le Mont-Blanc devient le foyer des chercheurs qui sont dans l’optique de mieux comprendre la formation des Alpes, ses phénomènes et sa composition.

Continuez votre lecture !

Ci-dessous, vous trouverez les pages correspondant à cette première catégorie. Cliquez sur l’une d’entre elles pour continuer votre lecture.

Abonnez-vous à la newsletter !

Merci de vous être abonnées, vous recevrez un mail contenant des liens 

bottom of page